1 parent sur 3 souffre du blues des parents abandonnés.

1 parent sur 3 souffre du blues des parents abandonnés.
Étude commandée par My Way

Comme chaque année, un nombre important de jeunes va entamer des études supérieures, à l’université ou dans une école supérieure.

Un choix des plus cornéliens se pose aux parents :

  • Laisser leur enfant aller vivre en kot et ne le voir que le weekend.
  • Ou lui acheter une voiture pour qu’il puisse rentrer tous les jours à la maison.

My Way, un des leaders belges du marché de la voiture d’occasion, a commandé une étude auprès du bureau spécialisé Emakina/Insights afin d’en savoir plus sur la relation parent-enfant et d’affiner son offre dans un contexte de commencement d’études supérieures.

Groupe qualifié 225 parents

L’étude au sein d’un groupe qualifié de 225 parents, hommes et femmes, avec un enfant terminant ses études secondaires en septembre ou ayant quitté le domicile familial pour des études, ces deux dernières années.

  • 1/3 parents

    Il en résulte que plus d’un parent sur trois a la larme à l’oeil lorsque sa progéniture quitte le domicile familial pour aller vivre en kot.

  • 85% des parents

    Plus encore, 85% des parents interrogés avouent avoir peur ! Peur que leur enfant ne se laisse aller à une consommation excessive d’alcool, ne se mette à consommer des substances illicites ou ne se nourrisse que de junk food.

  • 14% des sondés

    Enfin, 14% des sondés se disent prêts à investir dans un véhicule pour que leur enfant puisse revenir leur faire un gros câlin quotidiennement.

Avec une large gamme de véhicules d’occasion de qualité et un service performant:

My Way peut se targuer d’être le plus grand adversaire du blues parental.

  • My Way Car
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